750 grammes
Tous nos blogs cuisine Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Le goût des choses simples

8 janvier 2017

Polenta crémeuse au gorgonzola, champignons et noisettes

 

 

 

Ingrédients (pour 4 personnes) :

    -  100 g de polenta précuite

    -  500 ml de lait

    -  30 g de beurre

    -  100 ml de crème liquide entière

    -  40 g de gorgonzola (ou fourme d'Ambert, autre bleu)

    -  250 g de champignons (surgelés)

    -  1 petit oignon + 1 petite gousse d'ail

    -  quelques noisettes ou noix (torréfiées)

    -  sel, poivre

 

Peler et émincer l'oignon et l'ail.

Faire revenir les oignons dans une poêle avec une noisette de beurre puis, lorsqu'ils sont dorés, saler, ajouter un filet d'eau, baisser le feu, couvrir et laisser mijoter jusqu'à ce que les oignons soient tendres et colorés.

Faire revenir les champignons avec l'ail, saler. Laisser mijoter sur feu vif (en retirant le jus de cuisson si besoin). Laisser réduire encore quelques instants.

Mélanger les champignons et les oignons caramélisés. Réserver au chaud.

Couper le gorgonzola en dés, retirer la croûte.

Dans une casserole, porter le lait à ébullition. Baisser alors le feu et verser la polenta en pluie. Mélanger sous feu doux, jusqu’à ce que la polenta épaississe (environ 5 min).

Hors du feu, incorporer le beurre, la crème, puis le gorgonzola. Bien mélanger. Ajouter ensuite les champignons et oignons. Saler et poivrer si besoin.

Parsemer de noisettes concassées, de quelques feuilles de roquette et servir aussitôt.

 

 

 

Avis : j'ai adoré ! Je dois dire que je n'avais encore jamais mangé de polenta si crémeuse, si onctueuse. Et puis le mélange bleu/champignons/noisettes fonctionne toujours bien, alors ça m'a beaucoup plu.

A préparer à la dernière minute, ce n'est plus pareil une fois refroidi...

 

Publicité
Publicité
6 janvier 2017

Kougelhopf

 

 

Ingrédients (pour 1 kougelhopf, moule d'environ 22 cm de diamètre) :

    -  500 g de farine

    -  14 g de levure fraîche

    -  50 g + 3 cs de sucre

    -  250 ml de lait

    -  70 g + 4 dés de beurre découpé en fines lamelles

    -  1 œuf

    -  1 bonne pincée de sel

    -  quelques amandes non mondées

    -  75 g de raisins secs + éventuellement 50 g d'écorces d'orange confites

    -  sucre glace pour la décoration

 

Mettre dans une casserole la moitié du lait, le beurre, le sucre et le sel. Faire juste tiédir en mélangeant pour faire fondre le beurre. Le lait ne doit pas être trop chaud (tout juste tiède) sinon il tuera la levure.

Dans un bol, verser le reste du lait, y émietter la levure et ajouter les trois cuillères à soupe de sucre. Laisser reposer 5 min, bien mélanger puis réserver.

Verser 375 g de farine dans un grand bol, former un puits au centre. Y verser le mélange lait-beurre petit à petit en commençant à mélanger. Ajouter ensuite l'œuf, bien mélanger puis ajouter le mélange lait-levure-sucre. La pâte est trop liquide pour être pétrie, la mélanger pendant 5 minutes à la spatule en la soulevant du fond du bol, de bas en haut. La pâte doit très lisse en sans grumeaux. Ajouter ensuite 125 g de farine, éventuellement les écorces d'orange confites coupées en petits dés et les raisins secs et pétrir dix minutes. Mettre ensuite la pâte dans un grand saladier propre, couvrir avec un torchon ou un film étirable et laisser lever dans un endroit tiède à l’abri des courants d’air pendant 1h30-2h, la pâte doit doubler de volume.

Après cette levée, beurrer généreusement le moule en terre, y disposer quelques amandes au fond de chaque cannelure.

Sur un plan de travail légèrement fariné, dégazer la pâte et la pétrir très brièvement en le repliant sur elle-même. La disposer au fond du moule (à mi-hauteur), la tasser un peu pour qu'elle épouse bien le fond du moule, couvrir avec un torchon et laisser lever dans un endroit tiède à l’abri des courants d’air, la pâte doit également doubler de volume.

Préchauffer le four à 150°, enfourner pour 7 minutes puis augmenter le thermostat à 180° et cuire 30 minutes. Sortir du four et laisser refroidir une demi-heure avant de démouler sur une grille à pâtisserie. Saupoudrer de sucre glace. Conserver emballé dans du film étirable pour éviter qu'il sèche.

 

 

Avis : ne pas démouler immédiatement mais laisser refroidir dans le moule, afin que la condensation et l'humidité décolle le kougelhopf des parois du moule, ce qui facilitera le démoulage. Et être TRES généreux en beurre pour graisser le moule, partout !

Mon premier kougelhopf n'était pas assez cuit, pas du tout coloré sur les bords, presque cru au centre et en plus, je n'ai pas attendu qu'il refroidisse avant de le découper... Pareil pour le deuxième, mais le troisième était enfin bien doré et bien cuit, tout en restant moelleux (celui de la photo). Pour la cuisson, j'ai cuit 40 min à 200°.

Mon moule est petit et la première fois, avec 500g de farine, je n'ai pu y déposer que les 2/3 de la pâte (avec le reste, j'ai fait de petites brioches individuelles). Du coup, pour les kougelhopf suivants, j'ai fait ma pâte avec seulement 300g de farine, ce qui est plus adapté à mon moule. Donc ajustez les quantités selon votre moule !

Moi qui ne sucre jamais beaucoup mes brioches, celle-ci, je l'ai trouvée un peu trop sucrée.

Si vous utilisez le moule à kougelhopf pour la première fois, il faut le culotter. Laver le moule à l'eau froide et le sécher soigneusement. Bien beurrer le moule, le disposer 10 minutes dans un four préchauffé à 180°, le laisser ensuite refroidir. Quand il est à température ambiante, le beurrer à nouveau et faire cuire 10 minutes dans un four préchauffé à 180° une seconde fois. Laisser refroidir, re-beurrer, et y déposer la pâte pour la première utilisation. Un moule à kougelhopf ne doit jamais être lavé mais simplement essuyé avec un torchon propre.

 

Il y a longtemps, j'ai aussi essayé une autre recette de kougelhopf, et comme il était très bon aussi, en voici la recette :

Pour le levain-levure :

    -  100 g de farine

    -  20 g de levure fraiche du boulanger (soit 2 cc levure sèche environ)

    -  60 ml d'eau

Pour la pâte :

    -  600 g de farine

    -  300 ml de lait

    -  2 oeufs moyens

    -  80 g de sucre

    -  10 g de sel

    -  125 g de beurre mou

    -  100 g de raisins secs

    -  2 cs de rhum

    -  15 amandes entières non mondées

 

Dans un grand saladier ou bol, verser la farine, creuser un puits et y verser la levure émiettée et l'eau (on peut également délayer la levure dans l'eau). Mélanger rapidement du bout des doigts de façon à former une boule de pâte un peu épaisse. Recouvrir complètement avec 500g de farine pris sur les 600, couvrir avec du film alimentaire et laisser reposer 1h. Le levain-levure en fermentant va gonfler et pousser la farine dont la surface va présenter des craquelures.

Pendant la pousse du levain-levure, préparer les raisins secs en les faisant macérer dans un bol avec le rhum.

Ajouter dans le saladier contenant le levain-levure le lait, les oeufs, le sucre et le sel. Mélanger avec une cuillère en bois pour amalgamer les ingrédients en ajoutant petit à petit le reste de farine puis, dès que la pâte commence à se ramasser en boule, la travailler avec la main directement dans le bol en la soulevant d'abord pour l'étirer puis en la laissant retomber. Continuer à battre la pâte de cette façon pendant 10 minutes. La pâte, au fur et à mesure qu'elle prend du corps, devient plus facile à travailler. Quand la pâte commence à devenir lisse, ajouter le beurre ramolli en plusieurs fois et l'incorporer en battant la pâte comme précédemment, en soulevant, étirant le plus possible pour aérer la pâte jusqu'à ce qu'elle se décolle des parois.

Note: dès l'addition du beurre, la pâte redevient hétérogène et collante. Pour la travailler au mieux sans que cela nécessite un ajout important de farine, il est conseillé d'emprisonner les morceaux de beurre dans la pâte avant de la travailler. Les mains n'étant pas au contact direct de la matière grasse, elles ne collent pratiquement pas à la pâte et par conséquent l'ajout supplémentaire de farine est limité, la pâte reste bien souple et légère.

Egoutter les raisins et les ajouter à la pâte: malaxer pour les incorporer et pétrir quelques minutes pour que la pâte soit homogène. Remettre la pâte en boule dans le saladier, couvrir avec du film alimentaire et laisser lever 1h à l'abri des courants d'air.

Préparer les moules à kougelhopf : beurrer généreusement l'intérieur du moule en insistant sur les cannelures puis déposer au fond de chacune d'elle une amande entière.

Dégazer la pâte en l'écrasant avec le plat de la main puis la transvaser sur le plan de travail légèrement fariné. Replier la pâte plusieurs fois sur elle-même puis la diviser en 2 morceaux de même poids (environ 750g). Façonner chaque morceau en boule régulière clé bien soudée, aplatir légèrement la surface de la boule puis, avec l'index et le majeurs farinés, creuser un trou au centre en tournant les doigts pour l'agrandir de plus en plus jusqu'à ce qu'il mesure environ 7 cm (veiller à ce que la couronne obtenue soit régulière pour un meilleur rendu final). Déposer chaque couronne dans le moule, couvrir avec un torchon propre et laisser lever au moins 2 h : la pâte doit au pire atteindre le bord du moule mais l'idéal est de laisser lever jusqu'à ce que la pâte déborde légèrement, ce qui donne une belle base au kougelhopf.

Préchauffer le four à 180°. Enfourner les kougelhopf sur la même grille et cuire environ 35 à 45 min (vérifier avec un pic à brochette en bois qu'il ressorte sec) en posant une feuille de papier aluminium au-dessus des moules au bout de 20 min de cuisson à peu près. Sortir les kougelhopf du four, laisser "reposer" 1 min avant de démouler encore chauds sur le plat de service.

Pour servir, 1) saupoudrer de sucre glace, 2) badigeonner la surface des kougelhopf à la sortie du four avec du beurre fondu avant de les saupoudrer de sucre glace, ou 3) badigeonner les kougelhopfs avec un sirop de sucre parfumé à l'eau de fleur d'oranger et à l'extrait d'amandes (en plus de donner un joli aspect brillant au kougelhopf, le sirop permet d'assurer une meilleure conservation et une texture plus moelleuse).

 

4 janvier 2017

Soupe coco aux crevettes façon thaï

Recette d'Agnès

 

 

 

Pour 6 personnes

200 g de crevettes ou de blancs de poulet

1 poivron rouge

1 poivron jaune

½ botte d’oignons blancs

½ botte de persil ou coriandre

4 gousses d’ail

300 ml lait de coco

300 ml eau

5 cc cury

2 cs sauce soja

2 cs sauce nuoc nam

200 g pousses de soja ou haricots mungo

poivre

 

Dans un wok ou une cocotte, mettre l’huile à chauffer. Y mettre les poivrons en petits dés, l’ananas coupé petit, l’ail haché, le poulet ou les crevettes, les oignons.

Laisser dorer un peu puis ajouter le lait de coco, l’eau, le curry, les sauces, le poivre. Laisser cuire à feu doux 20 mn.

Ajouter le persil et les germes de soja juste avant de servir très chaud.

 

Mon avis : très bon !

 

3 janvier 2017

Gâteau aux deux chocolats et cranberries

Recette d'Agnès

 

 

 

Ingrédients :

1 pâte sablée

100 gr de cranberries sèches

180 gr de chocolat blanc

2 cs  de cacao amer non sucré

5 gr de levure chimique

150 gr de farine

80 gr de beurre fondu

100 gr de sucre

2 œufs

10 cl de jus d’orange

50 gr d’amandes mondées et grillées à la poêle

 

Préchauffer le four th 6/7. Préparer la pâte sablée et la laisser reposer le temps de préparer tous les ingrédients. Concasser les amandes grillées. Hacher grossièrement la moitié des cranberries et 80 gr de chocolat blanc.

Dans un saladier, battre les œufs avec  le sucre pendant 2 minutes puis ajouter le jus d’orange et le beurre fondu. Incorporer la farine, la levure, le cacao. Bien mélanger.

Etaler la pâte sablée puis en garnir un moule à manqué dans lequel on aura mis un papier de cuisson ( important pour démouler le gâteau sans le casser ou préférer un moule à fond amovible. ) Verser la préparation au chocolat. Emietter dessus les cranberries et le chocolat blanc hachés. Enfourner 30 minutes environ et laisser tiédir.

Faire fondre le chocolat restant au bain-marie. Napper le gâteau et parsemer d’amandes concassées et des cranberries restantes immédiatement.

 

Mon avis : nous avons beaucoup aimé, en dessert, avec un café ou un thé. Veiller à ce que le gâteau ne soit pas trop cuit (pourtant il faut que la pâte sablée le soit, elle) et saupoudrer généreusement d’amandes car elles apportent un coté croustillant très très agréable ! Les cranberries ajoutent un peu d’acidité et c’est juste parfait ! Vraiment très bon même 2 jours après ce qui peut être un gros avantage lorsqu'il faut s'organiser et anticiper la cuisson au four de plusieurs plats simultanément... Les amandes grillées apportent beaucoup de croquant et on pourrait envisager de les caraméliser un peu pour encore plus de " hummm !!!"

On peut tout à fait garnir de petits moules à tartelettes avec cette préparation et les offrir à Noël par exemple… (suggestion à peine voilée pour le thème du mois précédent que je n’ai pas eu le temps de faire...)

 

31 décembre 2016

Thème 57 : cadeaux gourmands

Recette d'Ophélie : sablés vitraux

 

 

 

Ingrédients :

    -  200 g de farine

    -  50 g de poudre d'amande

    -  120 g de beurre

    -  100 g de sucre ou cassonade

    -  1 oeuf

    -  1 pincée de sel

    -  une dizaine de bonbons acidulés

 

Placer les bonbons dans un sac de congélation (en les séparant par couleur) puis les réduire en poudre fine, en les écrasant au marteau.

Mélanger la farine, la levure, le sucre et le sel. Ajouter le beurre mou coupé en dés et sabler la pâte du bout des doigts. Ajouter l'oeuf, bien mélanger pour l'incorporer et obtenir une boule de pâte lisse et homogène. Réserver au frais 30 min.

Etaler la pâte sur un plan de travail fariné et découper les sablés à l'emporte pièce. Les disposer sur une plaque de cuisson garnie de papier sulfurisé puis les évider à l'aide d'un second emporte-pièce plus petit. Déposer une grosse pincée de poudre de bonbon dans les formes évidées. Eventuellement, réaliser de petits trous dans les sablés pour pouvoir ensuite les suspendre (à l'aide d'une petite paille par exemple).

Les faire cuire 8-10 min à 180° et laisser refroidir complètement avant de décoller les sablés du papier sulfurisé.

 

Avis : sympa et rigolo ! On peut utiliser n'importe quelle recette de pâte sablée (sans levure pour ne pas que les biscuits se déforment à la cuisson en gonflant, et en réservant la pâte au frigo pour éviter qu'elle ne s'étale ensuite dans le four). Evider les sablés après les avoir déposés sur la plaque de cuisson sinon, c'est un peu délicat de les transvaser. Le nombre de sablés va varier en fonction de la taille de l'emporte-pièce utilisé, le nombre de bonbons nécessaires aussi. S'il reste de petits morceaux de bonbons dans la poudre, ce n'est pas très grave, ils vont fondre. Peut-être faudrait-il d'abord cuire les sablés "à blanc" puis les garnir de poudre de bonbon et continuer la cuisson quelques minutes supplémentaires (pour garder la couleur d'origine ?)

Et surtout, éviter de réaliser ces biscuits dans une région humide comme la Bretagne !!! ;b Au bout de 3 jours accrochés à mon sapin de Noël, j'ai découvert de petites gouttes de sucre fondu par terre sous mes sablés : l'humidité a fait fondre le sucre, qui dégoulinait sur le biscuit et gouttait par terre... Non mais je rêve !

 

Publicité
Publicité
28 décembre 2016

Biscuits craquelés au cacao et huile d'olive

 

 

 

Ingrédients (pour une vingtaine de biscuits) :

    -  90 g de farine

    -  90 g de sucre

    -  50 g de cacao amer

    -  1 oeuf

    -  50 ml d'huile d'olive

    -  1/2 cc de levure chimique

    -  1 pincée de sel

    -  qs sucre semoule + sucre glace

    -  3 bigarreaux confits ou écorces d’orange confite

 

Dans un saladier, verser l’huile, le sucre, le sel et mélanger. Incorporer l’œuf puis ajouter le cacao, la farine et la levure. Mélanger jusqu’à obtenir une boule de pâte homogène. Filmer d’un film étirable et réserver au frais pendant au moins une heure.

Verser du sucre en poudre dans un bol et du sucre glace dans un autre. Prélever de petits morceaux de pâte et façonner des boulettes de la taille d’une cerise. Les rouler dans le sucre cristallisé puis dans le sucre glace. Les déposer sur une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé en les espaçant, les aplatir légèrement avec la paume de la main et déposer 1 morceau de bigarreau confit (coupé en 8) ou d’écorce d’orange confite.

Cuire à 160° pendant environ 10-12 min. Laisser refroidir sur une grille.

 

 

 

Avis : la texture m'a un peu surprise (très friable et granuleuse) mais ils sont bien cacaotés et la petite croûte craquelée est très sympa !

 

26 décembre 2016

Cake marbré de François Perret

 

 

 

Ingrédients (pour un moule à cake de 25×9 cm) :

Pour la pâte vanille :

    -  40 g de beurre mou + 40 g de beurre clarifié

    -  173 g de sucre

    -  2 g de sel (sel de Guérande)

    -  1 gousse de vanille

    -  57 g d’oeuf (= 1 gros oeuf)

    -  117 g de crème liquide entière (30% ou 35%)

    -  126 g de farine T55

    -  3 g de levure

Pour la pâte au cacao :

    -  40 g de beurre mou + 40 g de beurre clarifié

    -  173 g de sucre

    -  2 g de sel de Guérande

    -  22 g de cacao amer

    -  57 g d’oeuf (= 1 gros oeuf)

    -  117 g de crème liquide entière (30% ou 35%)

    -  126 g de farine T55

    -  3 g de levure

Pour le montage :

    -  30 g de beurre pommade (facultatif)

Pour le sirop d'imbibage :

    -  125 g d’eau

    -  50 g de sucre

    -  7 g de rhum

Pour le glaçage :

    -  150 g de chocolat

    -  250 g de crème liquide

    -  60 g de miel

    -  40 g de beurre

 

Dans un grand saladier ou un robot, déposer le beurre mou, le sucre, le sel et les graines de vanille et travailler l'ensemble jusqu'à ce que le mélange blanchisse. Ajouter l’oeuf, puis la crème liquide et mélanger de nouveau. Dans un autre récipient, tamiser la levure et la farine puis ajouter à la pâte et mélanger vigoureusement pour obtenir une pâte homogène et lisse. Terminer en incorporant le beurre clarifié tiédi. Mélanger de nouveau. Réserver la pâte dans une poche à douille.

Pour la pâte au cacao, procéder de la même façon qu’avec l’appareil à cake vanille en ajoutant la poudre de cacao, tamisée avec la farine. Débarrasser l’appareil cacao dans une autre poche à douille.

Beurrer et chemiser un moule à cake de papier sulfurisé. Commencer par déposer dans le fond du moule l’appareil vanille en zigzag. Ajouter par-dessus, toujours en zigzag, l’appareil cacao et continuer ainsi jusqu’à atteindre les 2/3 du moule. Eventuellement, déposer au milieu du moule un petit filet de beurre pommade à l’aide d’une poche à douille, sur toute la longueur de la pâte, afin que le cake se développe harmonieusement. Placer le cake 12h à 24h au réfrigérateur.

Après ce temps de repos, enfourner le cake à 145° pendant 1h30 à 2h00, vérifier la cuisson avec la lame d’un couteau, qui doit ressortir propre lorsque le cake est cuit. Laisser légèrement tiédir, sans démouler.

Pendant ce temps, préparer le sirop d’imbibage en portant l’eau avec le sucre à ébullition dans une casserole, puis retirer du feu lorsque le sucre est totalement dissout. Laisser tiédir puis ajouter le rhum.

Démouler le cake encore tiède et le badigeonner généreusement de sirop à l’aide d’un pinceau. Placer à nouveau le cake 12 heures au réfrigérateur.

Faire fondre le chocolat au bain-marie. Dans une casserole, verser la crème et le miel et porter à ébullition, mélanger. Verser en 3 fois la crème bouillante sur le chocolat fondu et mélanger énergiquement afin d’obtenir un mélange lisse et homogène. Lorsque la température du mélange atteint les 40°, ajouter le beurre coupé en dés. Mixer l’ensemble et laisser tiédir jusqu'à 35°.

Déposer le cake bien froid sur une grille, elle-même placée sur un grand plat. Lorsque le glaçage est à 35°, le verser régulièrement sur le cake pour le recouvrir entièrement. Placer à nouveau le cake au frais pour au moins deux heures.

 

 

Avis : absolument incroyable !!! Surtout sa texture, qui est à la fois homogène, dense, ultra-moelleuse, fondante... Bref, indescriptible ! Alors certes, il prend un peu de temps (au moins 2 jours), mais ça vaut vraiment le coup, le résultat dépasse de loin tout ce que j'ai pu faire  ;b

J'ai gardé ici le déroulé de la recette tel qu'elle était décrite et que j'ai essayé de suivre à la lettre, mais je n'ai pas tout bien respecté :

- les compositions des pâtes vanille et cacao sont si proches que j'ai commencé par tout faire dans le même saladier, j'ai séparé ma pâte en deux et j'ai ajouté le cacao dans l'une des deux moitiés. C'est plus rapide ! Je n'ai pas utilisé de robot mais juste mon saladier et une cuillère. Mais peut-être que l'utilisation d'un robot, qui va mélanger les ingrédients plus intimement, va encore améliorer la texture ??

- je n'ai pas mis autant de sucre, mais "juste" 300g au lieu de 350g... mais ne pas trop diminuer les quantités quand même, j'imagine que l'équilibre et le choix des ingrédients jouent un rôle important dans la texture.

- pour le beurre clarifié, il faut faire fondre le beurre dans une casserole et récupérer les impuretés qui remontent en surface. Ce que je n'ai pas fait mais apparemment, la différence est flagrante (bon moi en plus, j'ai oublié de mettre l'autre moitié du beurre...). Prévoir de faire fondre un peu plus de beurre que la quantité qui est prévue. Là aussi, le beurre fondu confère à la pâte une texture dense et moelleuse que l'on n'obtient pas avec du beurre pommade.

- je n'ai pas utilisé de poche à douille pour le montage mais j'ai un peu galéré avec mes deux cuillères. Donc même si c'est faisable sans poche à douille, c'est quand même plus pratique !

- je n'ai pas mis de beurre pommade sur le dessus du cake et il a quand même très bien gonflé.

- pour moi, la cuisson a duré un peu moins d'1h30 donc adaptez en fonction de votre four.

- je n'ai pas utilisé tout le sirop d'imbibage (environ les 3/4). Par contre, ne zappez pas l'imbibage et respectez bien le temps de repos après imbibage, ça fait partie des étapes importantes qui vont conférer au cake son incroyable texture.

- pour le glaçage,  incorporer le beurre dans une préparation à 40°, à peine chaude, permet de ne pas modifier sa structure moléculaire et ainsi de conserver son onctuosité. Bon moi, j'ai fait au pif, je n'ai pas contrôlé la température, et je l'ai utilisé quand il me semblait grosso modo à bonne température (c'est-à-dire quand on ne ressent plus vraiment de chaleur lorsqu'on y trempe le doigt).

Et malgré tous ces sacrilèges, il était délicieux !!

 

23 décembre 2016

Bonbon de boudin noir

 

 

 

Ingrédients (pour 4 bouchées) :

    -  150 g de boudin noir

    -  50 g de beurre

    -  4 feuilles de brick (ou filo)

 

Faire fondre le beurre dans une petite casserole. Couper les feuilles de brick en rectangles. Les beurrer au pinceau sur les deux faces.

Retirer le boyau du boudin et le diviser en 4 morceaux.

Déposer un morceau de boudin au milieu d'un des côtés de la feuille de brick et la rouler avec précaution pour former une papillote. Plisser les extrémités et les attacher avec un morceau de ficelle.

Déposer les bonbons sur une plaque de cuisson et enfourner pour 15-20 minutes à 180°. Servir rapidement, avec par exemple un velouté de potiron ou une compote de pomme.

 

 

Avis : plutôt sympa et original !

J'ai réalisé mes feuilles de bricks moi-même, mais ce n'est pas encore au top. J'ai dû en superposer 2 épaisseurs pour former un bonbon digne de ce nom, sans que la feuille de brick n'éclate. Donc avec une feuille de brick du commerce, voir s'il faut en utiliser une par bonbon ou plutôt deux.

Pour fermer les extrémités des bonbons, j'ai vrillé les extrémités comme pour un bonbon (en les retenant par un petit cure-dent) mais mes feuilles de brick étaient fragiles et se sont un peu déchirées. Il vaut peut-être mieux les fermer avec un bout de ficelle.

Pour changer, on peut aussi remplacer le boudin noir par de petits boudins antillais. Dans ce cas, les piquer à la fourchette pour éviter qu’ils éclatent lors de la cuisson.

 

21 décembre 2016

Entremets vanille, pomme et caramel sur sablé breton

 

 

Ingrédients :

Pour le sablé breton :

    -  80 g de beurre 1/2 sel

    -  80 g de sucre

    -  2 jaunes d'oeufs (40g)

    -  115 g de farine

    -  4 g de levure

Pour le crémeux caramel :

    -  120 g de crème liquide entière

    -  20 g de lait

    -  20 g de sucre

    -  20 g de jaunes d'oeuf (1 gros jaune)

    -  4 g de sucre

    -  1 feuille de gélatine (2g)

Pour l'insert pommes :

    -  75 g de purée de pommes

    -  150 g de pommes, coupées en petits cubes puis caramélisées

    -  3/4 feuilles de gélatine (1.5g)

Pour la mousse vanille :

    -  250 g de lait

    -  1 g de vanille en poudre

    -  2 jaunes d'oeufs (+/- 40g)

    -  60 g de sucre

    -  2-2,5 feuilles de gélatine (4-5g)

    -  250 g de crème liquide entière très froide

Pour le glaçage :

    -  110 g de sucre

    -  90 g d’eau

    -  75 g de crème liquide entière

    -  50 g de chocolat blanc de couverture

    -  2 feuilles de gélatine (4g)

 

Pour le sablé breton :

Couper le beurre en dés, et le travailler à la main dans un saladier jusqu'à obtention d'une pommade (consistance crémeuse). Incorporer le sucre et mélanger vigoureusement quelques minutes. Incorporer les jaunes d'œufs puis ajouter la farine et la levure chimique. Pétrir rapidement. Ramasser en boule et placer au frais 30 min.

Etaler la pâte bien froide à l'intérieur d'un cercle à pâtisserie de 20 cm de diamètre, lui même posé sur une plaque de cuisson garnie de papier sulfurisé, sur une épaisseur uniforme.

Cuire au four à 180° pendant 15 à 20 min, en surveillant la coloration (le sablé doit rester entre blond et doré foncé). Retirer du four et détailler de suite aux dimensions de l'insert, sous forme de disque de 16 cm de diamètre. Laisser entièrement refroidir avant de retirer les excédents de pâte et de réserver à T° ambiante sur une grille.

 

Pour l'insert aux pommes :

Peler, épépiner et couper 4 pommes de petits cubes. Les faire revenir dans une poêle beurrée, saupoudrer de sucre et laisser caraméliser, sur feu moyen, en remuant régulièrement, jusqu'à ce que les pommes soient tendres. Prélever 150g de dés de pomme, réserver. En prélever également 75 g et mixer finement.

Faire tremper la gélatine dans un grand volume d'eau froide. 

Faire chauffer la purée de pomme. Dès que la purée commence à frémir, retirer du feu, ajouter la gélatine essorée et bien mélanger. Incorporer les dés de pomme. Laisser refroidir 10 minutes puis couler dans un moule de 16 cm de diamètre (tapissé de film étirable si besoin). Réserver au congélateur.

 

Pour le crémeux caramel :

Faire chauffer la crème et le lait sur feu doux. Réserver au chaud.

Pendant ce temps, réaliser un caramel à sec avec les 20 g de sucre. Ajouter le mélange crème/lait (réchauffé si besoin jusqu'à frémissement) en prenant garde aux éventuelles projections. Bien remuer. Laisser cuire de nouveau quelques instants pour refaire fondre les cristaux de sucre si besoin.

Ramollir la gélatine dans une grande quantité d'eau froide.

Blanchir le jaune d'oeuf avec les 4 g de sucre. Ajouter progressivement la sauce caramel chaude, remuer et replacer sur feu doux. Faire cuire sans cesser de remuer, comme pour une crème anglaise. Retirer du feu lorsque la crème a épaissi et ajouter la gélatine ramollie et essorée. Remuer pour bien la dissoudre.

Laisser tiédir et verser sur l'insert aux pommes. Réserver l'ensemble au congélateur.

 

Pour la mousse vanille :

Ramollir la gélatine dans une grande quantité d'eau froide.

Porter le lait à ébullition.

Blanchir les jaunes d'œufs avec le sucre puis ajouter la vanille. Verser progressivement le lait bouillant sur le mélanger jaunes d'oeuf/sucre tout en remuant et reverser de suite dans la casserole. Cuire sur feu doux sans cesser de remuer jusqu'à ce que la crème nappe la cuillère et atteigne les 85°.

Ajouter la gélatine ramollie et essorée. Mélanger bien à fond pour parfaitement la dissoudre. Verser dans une récipient, filmer au contact et laisser tiédir.

Fouetter la crème fraîche, sans excès pour ne pas la faire grainer. Incorporer délicatement la crème fouettée à la crème anglaise tiédie à l'aide d'une spatule.

 

Pour le montage :

Eventuellement, badigeonner le sablé breton de chocolat blanc fondu. Le déposer sur le fond d'un cercle à pâtisserie de 20 cm de diamètre, préalablement posé sur une plaque ou planche à découper garnie de papier sulfurisé (ou d'un moule amovible de même diamètre). Déposer ensuite l'insert aux pommes sur le sablé, avec le crémeux caramel vers le haut.

Verser la mousse à la vanille autour de l'ensemble sablé/insert/crémeux puis continuer à verser pour recouvrir le centre. Lisser la surface (ou tapoter le moule pour aplanir la surface). Réserver au congélateur.

 

Pour le glaçage : (il restera du glaçage, c'est normal. La quantité de glaçage doit être plus importante que nécessaire pour assurer une finition parfaite, régulière et sans trous. Le surplus s'écoule et peut ensuite être récupéré et congelé sans problème pour une utilisation future...)

Faire ramollir la gélatine dans un grand bol d'eau froide.

Porter le sucre et l'eau à ébullition dans une casserole. Laisser bouillir encore quelques instants puis retirer du feu et faire fondre la gélatine essorée.

Faire fondre le chocolat au bain marie ou au micro-ondes puis incorporer la crème. Mélanger au sirop. Laisser refroidir à température ambiante en mélangeant de temps en temps jusqu'à ce que le glaçage devienne nappant et atteigne 32-35°.

Sortir l'entremets du congélateur, le démouler et le déposer sur une grille, elle-même posée au dessus d'une assiette ou d'un moule pour récupérer le surplus. Verser le glaçage sur l'entremets congelé, de manière uniforme. Laisser égoutter quelques minutes.

Avant que l'entremets commence à dégeler et ramollir, couper les coulures de glaçage sous l'entremets puis le déposer, à l'aide d'une spatule, sur un plat de présentation. Réserver 6h au frais ou 3h à température ambiante pour laisser l'entremets dégeler.

Au dernier moment, décorer selon les envies (pour moi : filets de sauce caramel au beurre sablé et billes de pomme pochées...).

 

Avis : bon et apprécié, mais encore à améliorer sur certains points :

> le crémeux caramel était très caoutchouteux, et donc pas très agréable à la dégustation. Je l'ai d'abord fait en petite quantité donc peut-être que le caramel a pu trop réduire, trop figer ? Toujours est-il qu'il me faudra retenter la recette avant de la valider. Et puis le goût du caramel est plutôt léger...

> j'avais peur que mon sablé breton ramollisse trop pendant le dégel de l'entremets. Du coup, pour m'assurer d'avoir une base bien croquante, je l'ai laissé sécher dans le four éteint et je l'ai ensuite enduit de chocolat blanc pour le rendre imperméable à l'humidité des pommes au-dessus. Et ça a super bien marché, le sablé est resté très croquant, ... et tellement dur à couper qu'il a fallu s'y attaquer au couteau pour en casser des morceaux sans démollir sa part dans l'assiette !! Donc soit le laisser refroidir à température ambiante sans le faire sécher au four, puis l'enduire de chocolat blanc. Soit le faire sécher au four mais abandonner l'idée du chocolat blanc. Soit s'abstenir de tout zèle superflu...

> j'ai un peu bidouillé la recette de la mousse vanille : moins de gélatine (1,5 feuille), donc moins de crème fouettée (200 ml), mais un blanc d'oeuf en neige supplémentaire. J'avais un peu peur du résultat (je pensais que la quantité de gélatine allait être insuffisante pour assurer une bonne tenue de la mousse) mais contre toute attente, elle était très bonne (mais ce serait quand même mieux avec 2 voir 2,5 feuilles de gélatine)

> comme toujours, le diamètre des moules (celui de l'entremets final et celui de l'insert et du biscuit) modifie beaucoup les quantités à prévoir. J'ai dû augmenter un peu les proportions du crémeux caramel pour mon insert de 16 cm de diamètre, il était étalé beaucoup trop finement sinon. Du coup, j'en ai refait un peu pour obtenir un insert d'épaisseur plus appropriée. Donc bien prévoir un supplément d'ingrédients pour pouvoir doubler les proportions si nécessaire.

> bien prendre son temps et commencer plusieurs jours à l'avance. Sinon, si on se dépêche trop, si on n'attend pas assez que ça prenne, c'est vraiment galère... Bien s'organiser aussi (par exemple, si on n'a qu'un seul cercle à pâtisserie, prévoir de réaliser d'abord le biscuit, que l'on pourra démouler tout de suite après cuisson pour se servir du cercle pour l'insert, plutôt que de commencer par l'insert et de devoir le laisser figer, forcément dans le cercle, lequel sera alors inutilisable pour le reste des préparations !)

> on peut aussi monter l'entremets à l'envers, c'est-à-dire remplir le moule de mousse vanille aux 2/3 puis déposer l'ensemble crémeux caramel/insert pomme/sablé breton au centre, en surface (d'où l'intérêt qu'il soit parfaitement congelé pour être manipulé aisément). Appuyer légèrement pour que l'insert soit bien horizontal et compléter avec le reste de mousse autour de l'insert pour arriver à niveau. La surface de l'entremets est alors plus lisse, donc beaucoup plus jolie, même sous le glaçage, mais le montage est plus délicat je trouve. Surtout quand l'insert est lourd et coule à pic au fond de la mousse... (pour éviter ce "petit" incident, on peut au préalable congeler un peu de mousse dans le moule)

> avant de couler la mousse dans le cercle à pâtisserie (qui n'a pas de fond), penser à le déposer sur une surface bien plane, avec un papier sulfurisé, que l'on pourra transporter facilement jusqu'au congélateur sans bousculer le cercle (si le cercle n'épouse pas parfaitement la base, toute la mousse va fuire par en-dessous...). Et éviter de prévoir une base trop grande qui ne passera pas dans le congélateur... ;b

> ne pas décorer trop tôt sinon la décoration (selon ce que vous choisissez) risque de ramollir si elle reste au contact du glaçage et/ou au frigo (caramel, meringue, nougatine...)

 

19 décembre 2016

Madeleines de G. Lenôtre

 

 

Ingrédients (pour 24 madeleines) :

    -  150 g de farine

    -  5 g de levure chimique

    -  3 oeufs

    -  130 g de sucre

    -  20 g de miel neutre (pas mis)

    -  120 g de beurre

    -  1 pincée de sel

    -  1 cs de jus de citron

    -  1 pincée de vanille en poudre

 

Faire fondre le beurre, dans une casserole ou au micro-ondes. Laisser refroidir.

Battre les œufs avec le sucre, le sel et le miel jusqu'à ce que le mélange blanchisse et double de volume. Ajouter ensuite la farine ainsi que la levure et la vanille. Incorporer ensuite le beurre en pommade, puis le jus de citron. Réserver la pâte au réfrigérateur au minimum 2 heures, voire une nuit. 

Préchauffer le four à 230°. 

Beurrer et fariner les moules à madeleines. Remplir les alvéoles du moule avec une cuillère à soupe de pâte, sans remplir jusqu'au bord. 

Enfourner et baisser la température immédiatement à 200°. Laisser cuire 4-5 minutes (jusqu'à ce que la bosse se soit formée). Baisser la température à 180° et poursuivre la cuisson encore 4 à 5 minutes. Une fois les madeleines bien dorées, les sortir du four, patienter quelques minutes avant de les démouler sur une grille. Laisser refroidir.

 

 

Avis : elles sont très bonnes et superbes, mais je les ai trouvées un peu moins souples et moelleuses que les madeleines de P. Conticini (recette ici).

Ce qui veut dire qu'il va falloir que j'en refasse encore une fois (au moins...) jusqu'à trouver la recette parfaite, c'est bête, hein ? ;b

 

Publicité
Publicité
Publicité